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Ma vision de l'actualité !

- Mars 2005 -


Dans cette rubrique, j'ai sélectionné certains évènements sous forme de notes !


Jeudi 31 mars 2005

Quand Jean-Louis Borloo contredit Jean-Pierre Raffarin

" La baisse de 10% du taux de chômage n'aura probablement pas lieu en 2005, contrairement à l'objectif fixé par Jean-Pierre Raffarin", a estimé jeudi le ministre de l'Emploi Jean-Louis Borloo, qui a annoncé une "légère augmentation" du chômage en février.

Jeudi 31 mars 2005

Le chômage en hausse de 0,5%

L e chômage s'est accru de 0,5% en février, soit 12.800 demandeurs d'emploi supplémentaires, ce qui porte leur nombre à 2.481.100, selon les statistiques du ministère du Travail publiées jeudi 31 mars. Le taux de chômage au sens du BIT, que l'Insee avait révisé à la hausse de O,1 point en janvier, est inchangé à 10,1% de la population active.

Mardi 29 mars 2005

Référendum : la poussée du "non" se confirme

Une nette majorité de Français (54%) certains d'aller voter au référendum constitutionnel européen du 29 mai ont l'intention de choisir le non, contre 46% qui se déclarent prêts à voter oui, selon un sondage Ipsos pour Europe 1 et le Figaro à paraître mardi 29 mars. Un sondage, réalisé par CSA le 23 mars, donnait le non vainqueur à 55% contre 45% pour le oui. La précédente enquête Ipsos pour le Figaro et Europe 1, réalisée les 18 et 19 mars, établissait le non à 52% et le oui à 48%.

Lundi 28 mars 2005

Le lundi de Pâques travaillé peu suivi

Le Gard, le Territoire-de-Belfort et la petite ville de Vic-Fezensac (Gers) se sont distingués, le lundi 28 mars 2005, du reste de la France en ouvrant leurs écoles et une partie de leurs administrations pour conserver férié le lundi de Pentecôte. Mais partout les élèves se sont fait tirer l'oreille. Dans le Gard, 80% étaient absents dans les écoles primaires, 72% au collège et 60% au lycée, selon l'inspection d'académie. Dans le Territoire-de-Belfort, ces chiffres étaient respectivement de 50 à 70% dans les écoles, un peu moins de 50% au collège et 25% au lycée. La palme de l'indiscipline revient cependant aux élèves de Vic-Fezensac, seule commune du Gers bénéficiant d'une dérogation en raison de sa célèbre Feria du lundi de Pentecôte. Lundi matin, un seul enfant sur les 150 que compte la maternelle, 10 sur 190 à l'école élémentaire et 32 sur 230 au collège se sont présentés en classe.

Dimanche 27 mars 2005

Les homosexuels en faveur du traité européen

Au moment où les intentions de vote en faveur du référendum s'effritent, Jean-Luc Romero, président du parti Aujourd'hui, Autrement, seul mouvement de la majorité favorable au mariage des homosexuels et à l'homoparentalité, et de On Est Là !, membre de l'Inter LGBT, appelle tous les homosexuels à se mobiliser en faveur du traité établissant une constitution pour l'Europe.

Vendredi 25 mars 2005

Sondage : encore le "non" majoritaire au référendum sur la Constitution européenne en France

Le "non" à la Constitution européenne l'emporterait avec 55% des voix, contre 45% pour le "oui", si le référendum prévu le 29 mai sur la ratification de la Constitution européenne était organisé aujourd'hui, selon un sondage CSA paraissant samedi dans l'hebdomadaire "Marianne".
Selon ce sondage, la moitié des Français seulement ont arrêté leur vote, 50% des sondés déclarant vouloir s'abstenir ou voter blanc ou nul. Cette enquête, la troisième de suite à donner la victoire au "non", a été réalisée mercredi, au lendemain de la décision du Conseil européen de réécrire le projet de directive Bolkestein qui avait créé une vive polémique en France.

Jeudi 24 mars 2005

Le chômage baissera en 2005 !

Jean-Pierre Raffarin a réaffirmé jeudi que le chômage baissera de manière significative en 2005 malgré la mollesse de la croissance. "Je continue à dire que le chômage baissera de manière significative dans l'année 2005", a déclaré le Premier ministre sur TF1. "Nous sommes dans cette perspective", a ajouté M. Raffarin. Le Premier ministre n'a cependant pas rappelé son engagement d'une baisse de 10% du chômage cette année, qui figurait dans son "contrat 2005" présenté en décembre dernier.

Jeudi 24 mars 2005

Economie : une croissance entre 2 et 2,5% ?

Jean-Pierre Raffarin a estimé, jeudi soir, que la croissance peut atteindre les 2,5% en France en 2005 malgré la conjoncture morose. "Nous avons une croissance entre 2% et 2,5%. Je crois que nous pouvons atteindre les 2,5%, mais il gaut être prudent avec les chiffres", a déclaré le Premier ministre sur TF1. "C'est un peu comme avec les sondages", a ajouté M. Raffarin dans une allusion aux sondages qui donne le "non" vainqueur au référendum du 29 mai.

Jeudi 24 mars 2005

Des congés payés pour les agriculteurs

Le projet de loi d'orientation agricole, qui doit être adopté d'ici la fin de l'année par le Parlement, va prévoir un accès aux services de remplacement pour congés financé par l'Etat. Cette révélation a été annoncé le Premier ministre devant le 59e congrès de la FNSEA. "Dans la société moderne, il n'est plus acceptable que les éleveurs bouclent 35 heures en trois jours, sans congés souvent durant l'année", a expliqué M. Raffarin. Réclamée par la FNSEA, cette mesure destinée en priorité aux éleveurs, coûtera entre 50 et 100 millions d'euros par an, a précisé l'entourage de M. Raffarin.

Jeudi 17 mars 2005

Sondage : non majoritaire au référendum sur la Constitution européenne en France

Le non au référendum du 29 mai sur la Constitution européenne l'emporterait en France avec 51% des voix contre 49% au oui, selon un sondage CSA-Le Parisien-Aujourd'hui en France à paraître vendredi 18 mars 2005, le premier à donner une majorité hostile au traité. Cette enquête d'opinion marque un taux très important de personnes disant vouloir s'abstenir, voter blanc ou nul : 53%. Le sondage intervient après une série d'autres marquant une érosion du oui à cette consultation, qui restait cependant assez nettement majoritaire.

Jeudi 17 mars 2005

Nicolas Sarkozy et François Hollande à la "une" de Paris-Match

Portant le même costume, Nicolas Sarkozy et François Hollande, sont à la "une" du Paris-Match paru le 17 mars 2005. Le président de l'UMP et le premier secrétaire du PS y posent ensemble lors d'une séance photo organisée lundi 14 mars au siège de l'hebdomadaire.

Jeudi 17 mars 2005

Le projet de Constitution européenne ouvrirait la porte aux mariages homosexuels

La députée UMP Christine Boutin affirme au " Monde ", le 17 mars 2005, que le projet de Constitution européenne " ouvre la porte aux mariages homosexuels et à la possibilité pour ceux-ci d'adopter des enfants ".

Mardi 15 mars 2005

Salaires des fonctionnaires : rendez-vous le 22 mars

Le ministre de la fonction publique, Renaud Dutreil, et les fédérations de fonctionnaires sont tombés d'accord lundi sur la date du 22 mars pour tenir une réunion salariale, cette date devant toutefois être confirmée par Matignon, ont indiqué les syndicats lundi 14 mars.
Par ailleurs, les principales fédérations syndicales ont salué dimanche 13 mars l'annonce de l'ouverture de négociations salariales avec les fonctionnaires annoncée par Jean-Pierre Raffarin, comme un "premier pas positif", tout en soulignant que le Premier ministre n'a pas chiffré l'effort financier que le gouvernement serait prêt à consentir aux fonctionnaires.

Mardi 15 mars 2005

Pouvoir d'achat en baisse pour les salariés français

Le salaire net moyen mensuel dans le secteur privé et semi-public s'élevait en France à 1.811 euros en 2003, année qui a vu son pouvoir d'achat baisser de 0,3% malgré une progression pour les salariés rémunérés au Smic, selon une étude de l'Insee publiée mardi 15 mars. En 2003, le salaire moyen des salariés à temps complet s'est élevé à 2.377 euros, soit 1.811 euros nets.
Ces chiffres traduisent une hausse du salaire moyen des salariés à temps complet de 2,4% en brut et de 1,8% en net: la différence tient au fait que les prélèvements salariaux à la source ont légèrement augmenté. Mais en euros constants, c'est-à-dire déduction faite de la hausse des prix à la consommation (2,1% sur l'année), le salaire net mensuel moyen pour un emploi à temps complet a diminué de 0,3% entre 2002 et 2003, après une hausse de 0,6% entre 2001 et 2002.

Lundi 14 mars 2005

Henri Emmanuelli dénonce un "amalgame" après ses propos sur le "oui" socialiste à la Constitution européenne

Trois jours après avoir déclaré que le Parti socialiste n'était pas infaillible, le vote des pleins pouvoirs à Pétain en 1940 en étant un exemple, le député socialiste des Landes Henri Emmanuelli a dénoncé lundi un "amalgame". "On me fait dire ce que je n'ai pas dit et je n'aime pas les associations d'idées", a-t-il déclaré sur RTL. "J'ai dit que la majorité du parti n'était pas infaillible et j'ai donné deux exemples historiques où cela avait été le cas. Alors, par esprit d'association, par raisonnement analogique, (...) on a dit que je comparais ceux qui votaient pour le 'oui' à ceux qui avaient voté les pleins pouvoirs".

Dimanche 13 mars 2005

Salaires : Raffarin accepte de négocier

Après "les manifestations importantes" du 10 mars, le Premier ministre a décidé d'ouvrir des négociations salariales dans le public et de les impulser dans le privé, tout en développant la participation. Il s'est aussi "engagé" à une baisse du chômage de 10% en 2005. "Je pense qu'avec le Plan de cohésion sociale, avec tout ce que nous avons fait sur les départs à la retraite pour les longues carrières, les allègements de charges pour les jeunes, nous connaîtrons en 2005 une baisse significative du chômage", a-t-il dit.

Vendredi 10 mars 2005

Le gouvernement cherche une réponse à la grogne

Après la forte mobilisation, qui a rassemblé entre 600.000 et 1.000.000 de personnes, le Premier ministre a promis des réponses "dans les jours prochains", tout en prévenant qu'il n'était pas question de renoncer à ses réformes. Selon Le Monde, Jacques Chirac a demandé de "lâcher du lest" sur les fonctionnaires et les enseignants. Les syndicats veulent du concret.

Jeudi 10 mars 2005

Des centaines de milliers de manifestants dans les rues pour les salaires et l'emploi

Après le succès des mobilisations organisées dans différents secteurs depuis le début de l'année, plus d'un million de salariés du public et du privé, selon la CGT, sont descendus dans les rues, jeudi, sur fond de grèves pour exiger une revalorisation générale des salaires, défendre l'emploi, les 35 heures et le code du travail. A Paris, le cortège a rassemblé 35.000 personnes selon la police, 150.000 selon les syndicats. Jeudi en début de soirée, le ministère de l'Intérieur n'avait donné, de son côté, aucun total national concernant les cortèges.

Jeudi 10 mars 2005

Référendum : Les chiffres des sondages sont parfois trompeurs

Avec vingt points d'avance, le oui à la Constitution européenne semble bien parti et, en dépit des résultats d'enquêtes réalisées par d'autres instituts, se maintient. 60% de oui, c'est le score déjà mesuré par Ipsos il y a sept mois ; c'est même un point de mieux qu'au mois de janvier. Tout indique pourtant que les Français ne sont pas encore en campagne et que leur indécision reste forte. Seuls 58% des électeurs se disent "tout à fait certains" d'aller voter. Et surtout, parmi les électeurs déjà déterminés à se rendre aux urnes le 29 mai prochain, 34% n'expriment pas encore d'intention de vote. Par rapport aux votants potentiels, il y a donc aujourd'hui 40% de oui, 26% de non et 34% d'indécis.

Mercredi 9 mars 2005

Référendum : Jacques Chirac signe le décret fixant la question qui sera posée aux Français

"Approuvez-vous le projet de loi qui autorise la ratification du Traité établissant une Constitution pour l'Europe?": c'est la question à laquelle devront répondre les Français lors du référendum du 29 mai, selon le décret signé mercredi par Jacques Chirac. Selon un communiqué de l'Elysée, le chef de l'Etat a signé mercredi le décret décidant de soumettre au référendum l'autorisation de ratifier la Constitution européenne, et fixant du même coup la question à laquelle les électeurs devront répondre par "oui" ou par "non". Le décret sera publié au Journal officiel du jeudi 10 mars 2005.

Mercredi 9 mars 2005

Les viticulteurs en colère

Trois fonctionnaires de police ont été légèrement blessés lors d'échauffourées avec les vignerons qui manifestaient, mercredi après-midi, dans les rues de Montpellier (Hérault), a-t-on appris auprès de la police. Quelque 6.000 viticulteurs selon les renseignements généraux, 10.000 selon les manifestants, ont ainsi défilé. Ils venaient de l'Hérault, de l'Aude, des Pyrénées-Orientales, du Gard, du Vaucluse et de la Drôme.

Mardi 8 mars 2005

Les lycéens restent mobilisés

Les lycéens restent mobilisés. Quelque 200.000 d'entre-eux, selon les organisateurs, ont à nouveau manifesté mardi dans toute la France pour exiger le retrait du projet de loi d'orientation sur l'Ecole. Des incidents ont eu lieu dans plusieurs villes, dont Paris où le cortège était moins fourni que lors de la dernière grande manifestation du 15 février dans la capitale.
Mardi en début de soirée, le ministère de l'Intérieur ne fournissait aucun bilan national de la participation à cette journée.

Mardi 8 mars 2005

Nouveau rebondissement dans l'affaire du logement de Jean-François Copé

Le ministre délégué au Budget continue d'occuper son logement de fonction de 230m2 près des Invalides aux frais de l'Etat (5.500 euros par mois), alors que les travaux sont achevés "depuis des mois" dans son appartement privé de 184m2, rapporte "Le Canard Enchaîné" dans son édition de mercredi.

Vendredi 4 mars 2005

Le gouvernement écarte Didier Julia dans l'affaire Aubenas

Jean-François Copé réaffirme que le député UMP Didier Julia, qui s'est dit prêt à participer aux efforts pour tenter d'obtenir la libération de la journaliste Florence Aubenas détenue en otage en Irak, n'a pas apporté d'"informations nouvelles". Interrogé sur France Inter, le porte-parole du gouvernement a justifié la décision du Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin, de faire entendre ce parlementaire très controversé par les services de renseignements (DGSE).

Mercredi 2 mars 2005

Fermeté de François Fillon face aux lycéens

François Fillon, le ministre de l'Education Nationale souilgne que rien ne pourrait faire pour que la réforme de l'Ecole soit retirée. "Ce serait renoncer à établir enfin des priorités éducatives pour le pays", précise le misnistre. Ce même jour, l'Assemblée nationale a adopté par un vote solennel le projet de loi d'orientation sur l'avenir de l'Ecole, par 346 voix pour (UMP) contre 178 (PS, PCF, Verts) et l'absention de l'UDF.

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